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CADRAGE THÉORIQUE

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Pour commencer ce Travail de Fin d’Etudes, je vais d’abord m’intéresser à ce que nous apprend la littérature pour écrire le cadrage théorique. Le hoop-picket étant nouveau, il est impossible de trouver des documents sur ce sujet. Cependant, il existe des ressources sur l’éducation physique, les sports collectifs, la logique interne, le groupe, la motivation, l’estime de soi, ainsi que les sports nouveaux. Je vais donc m’y référer pour écrire l’état de la question et les définitions de ces différents concepts.

 Education     physique

L’éducation physique est l’enseignement sportif à l’école (Bastin, 2015). La finalité de cette discipline est pédagogique et didactique. En effet, en plus d’avoir un impact sur la construction des savoirs scolaires, elle développe des compétences citées dans le programme scolaire.

 

Le programme scolaire de l’enseignement catholique secondaire décrit les différentes compétences que le cours d’EP doit travailler selon le référentiel. L’éducation physique se compose de 3 champs de compétences : champ de la condition physique, champ des habiletés gestuelles et motrices, champ de la coopération socio-motrice. Les années du premier degré de secondaire travaillent les socles de compétences tandis que les années des deuxième et troisième degrés de secondaire travaillent les compétences terminales.

  • Champ de la condition physique : ce champ est réservé à l’endurance, la souplesse, la vélocité, la force et la puissance alactique.

  • Champ des habiletés gestuelles et motrices : ce champ est réservé à la maitrise des grands mouvements fondamentaux de déplacement, la coordination des mouvements, le repère dans l’espace, le maintien de son équilibre et la gestion des déséquilibres, l’expression des émotions à l’aide de son corps, l’attitude de sécurité en milieu aquatique,…

  • Champ de la coopération socio-motrice : ce champ est réservé au respect des règles convenues dans l’intérêt du groupe et en fonction du but à atteindre, l’action collective dans une réalisation commune, le jeu avec fair-play dans la défaite et la victoire dans le respect de soi et des autres, les interactions avec les partenaires (co-équipiers et adversaires),…

 

Le cours d’éducation physique a son rôle à jouer dans le développement de l’individu au niveau physique : travail de la motricité, DLTA (développement à long terme de l’athlète), bienfaits sur la santé de la personne (Piret, 2018-2019),… De plus, l’EP joue un rôle éducatif : former des CRAC’S (citoyen responsable, actif, critique et solidaire) (Extaburu, n.d.), gérer sa vie sociale (estime de soi, respect des autres et par les autres, être reconnu,…) et développer les capacités intellectuelles (tactique, anticipation,…) (Piret, 2018-2019).

Rey (2000) définit le sport collectif comme "une activité d’opposition, de coopération et de stratégie dans laquelle deux équipes aux intérêts protagonistes s’affrontent en vue de la victoire". Il fait donc référence aux notions de coopération et d’opposition.

 

Selon le texte "La contribution à la caractérisation des sports collectifs" d’Eloi et Uhlrich (2001), le sport collectif est une activité réglementée par un rapport de force, un choix d’habiletés sensori-motrices, des stratégies individuelles et collectives (Gréhaigne, 1992). Cet auteur nous dit également que la victoire d’un match de sport collectif réside dans les actions collectives : défendre pour récupérer le mobile, le conserver et progresser vers une cible.

 

Eloi et Uhlrich (2001) recensent trois systèmes de marque qui permettent aux équipes d’augmenter leur score :

  • les cibles peuvent être différentes,

  • les conditions dans lesquelles on peut atteindre la cible peuvent varier,

  • il n’existe qu’une cible et qu’une seule façon de l’atteindre.

Selon eux, dans tous les cas, les cibles ne sont jamais communes aux deux équipes. Cependant, certains sports contredisent cette règle car, par exemple au Poull ball, les deux cibles sont communes aux deux équipes.

 

En éducation physique, les enseignants pratiquent régulièrement des sports collectifs traditionnels tels que le basket-ball, le handball, le baseball,… (Van Hoye & Cloes, 2013). Ces sports collectifs nécessitent de la technique mais les enseignants favorisent l’approche par le jeu et l’aspect compétitif (Falquet & Pasche, 2017).

 

Le sport collectif crée parfois une division au sein d’un groupe. En effet, certains sports permettent aux joueurs d’atteindre la cible seuls. Nous remarquons alors que les plus forts jouent individuellement ou seulement entre eux sans coopérer avec les plus faibles de l’équipe. Cependant, d’autres sports, comme l’ultimate, obligent la coopération entre attaquants afin de progresser vers la cible. En effet, dans ce sport, le porteur du mobile ne peut pas se déplacer et est donc obligé de réaliser des passes avec les différents co-équipiers, que ce soit pour faire circuler le mobile ou pour marquer (Eloi & Uhlrich, 2001).

 

Le sport collectif permet une meilleure socialisation (santé sociale) et une valorisation de l’estime de soi (santé mentale). Il répond au besoin de l’humain d’appartenir à un groupe (Maslow, 1964). Dans le cadre scolaire, cela se traduit par la coopération, l’esprit d’équipe, le fait de pouvoir compter sur ses co-équipiers,…

 

Une majorité des filles a une préférence pour les sports sans contact. Au contraire, les garçons sont plus vite convaincus par les sports collectifs faisant intervenir les contacts physiques (Magnani & Tati, 2010).

Sport collectif 
 Logique interne

La logique interne d’une activité permet d’en dégager l’esprit du jeu et les règles essentielles à la pratique de celui-ci (Buono & Goiffon, 2017).

 

Les fondements caractérisent l’activité, expliquent l’essentiel de celle-ci et permettent de la reconnaitre parmi d’autres activités. Les fondements sont différents du règlement de l’activité. Le règlement est la loi du jeu écrite par la fédération (Buono & Goiffon, 2017). De ce fait, dans une démarche d’activité physique pour tous et de pratique ludique, l’enseignant se doit de respecter les fondements du hoop-picket, mais pas obligatoirement son règlement.

 

Pour trouver la logique interne d’une activité (Buono & Goiffon, 2017) :

 

   Les sports sont définis selon :

  • Le sport est individuel ou collectif.

  • L’opposition est directe ou indirecte.

  • Les milieux sont stables ou instables.

  • Les espaces sont séparés, interpénétrés ou partagés.

 

   Les fondements sont spécifiques à chaque discipline :

  • Comment est le mobile et comment le faire progresser vers la cible ?

  • Quel est le camp à défendre/attaquer, les camps sont-ils envahis par une ou deux équipe(s), comment sont-ils envahis ?

  • Comment est la cible, est-elle protégée par un joueur spécifique, comment la viser pour marquer, combien de points vaut-elle, combien y en a-t-il ?

  • Les adversaires sont-ils opposés directement ou indirectement, que puis-je faire pour les opposer ?

  • Quels rôles ont mes partenaires pour protéger mon camp ou ma cible, envahir le camp adverse, viser la cible et marquer ?

Un groupe est un ensemble d’individus qui visent un objectif commun. Ils rassemblent leurs compétences pour atteindre un but ensemble. Une classe est un groupe. Cependant, comme le précisent Bastin dans son mémoire (2015) et Courville (2006), chaque groupe-classe est hétérogène car les élèves ont des profils différents : niveau, sexe, habiletés, rythme d’apprentissage, relations entre chacun, motivation,... C’est donc là tout le défi de l’enseignant. Un groupe qui ne fonctionne pas peut être une source de conflit et aboutir à des disputes, des mésententes, de la démotivation,…

Groupe 
 Motivation

Selon le texte "La motivation en éducation physique" de Tessier (2009), 40% des jeunes ne réalisent une activité physique qu’au cours d’EPS. De ce fait, l’enseignant doit se préoccuper de la motivation des élèves lors de ses cours d’éducation physique afin qu’ils y participent activement car c’est à l’adolescence que l’activité génère des effets durables et que le jeune développe des habitudes de santé.

 

Selon Ryan et Deci (2000), il existe trois types de motivation : la motivation intrinsèque, la motivation extrinsèque, l’amotivation.

  • Motivation intrinsèque : cette motivation provient de l’individu lui-même, elle permet d’accomplir une tâche menant à la satisfaction personnelle.

  • Motivation extrinsèque : cette motivation est encouragée par des facteurs tels que des récompenses extérieures et punitions au terme d’une tâche.

  • Amotivation : cet état se traduit par l’absence de motivation pour la réalisation d’une tâche.

 

Pour faciliter l’acquisition des apprentissages par l’élève, l’enseignant doit faire en sorte qu’il prenne plaisir en participant aux activités physiques pour ainsi éveiller sa motivation intrinsèque (Ryan & Deci, 2000) à travers la curiosité, le plaisir et la recherche de défi. Les auteurs distinguent alors 3 besoins psychologiques fondamentaux menant à la motivation autodéterminée : le besoin de compétence, le besoin d’autonomie et le besoin de proximité sociale.

  • Besoin de compétence : l’élève se sent efficace à la réalisation d’une tâche menant au succès. L’enseignant le met donc en situation de réussite à l’aide de défis et d’objectifs qui, eux, ne sont ni trop faciles pour éviter la lassitude de l’élève, ni trop difficiles pour éviter que celui-ci ne soit démotivé (Viau, 2004).

  • Besoin d’autonomie : l’élève se sent libre et autonome lorsqu’il est acteur de ses apprentissages. Il est à la source des actions lui permettant de résoudre une tâche. Cela devient alors des acquis qu’il pourra transférer, par la suite, dans d’autres tâches.

  • Besoin de proximité sociale : l’élève éprouve le besoin d’interagir avec les autres, d’appartenir à un groupe et d’être reconnu, de travailler en collaboration,… En effet, l’élève est un individu ayant besoin de créer des relations. Les sports collectifs leur permettent de coopérer afin de progresser vers un objectif commun.

 

De plus, pour augmenter son implication et son engagement, le jeu doit permettre à l’élève de coopérer avec ses pairs, le responsabiliser et faire intervenir l’engagement cognitif en réfléchissant à quelle action serait la plus adéquate.

 

Comme nous l’affirment Ryan et Deci (2000), Martin Mornard (2022) démontre à travers son travail de fin d’études en éducation physique que les besoins d’autonomie et de compétence sont nécessaires aux élèves pour qu’ils se sentent intégrés dans une équipe en sport collectif. Le besoin de compétence est satisfait par l’accessibilité technique d’une discipline. En effet, les élèves de Martin ont témoigné qu’ils étaient motivés lors des séances de DBL ball car ils se sentaient efficaces dans l’action collective permettant à leur équipe de marquer un point.

 

Il existe également une autre façon de classer les besoins qui influencent la motivation et l’engagement de l’élève. Florence, Brunelle et Carlier (1998) ont différencié les besoins biogéniques, de valorisation sociale, d’accomplissement personnel et de relation sociale.

  • Besoins biogéniques : l’élève a besoin d’être en mouvement, de se détendre, de jouer, de se sentir en sécurité, d’être entouré, d’être curieux et de découvrir des nouveautés.

  • Besoins de valorisation sociale : l’élève a besoin d’être reconnu dans un groupe, d’être valorisé, de s’identifier aux autres, de se comparer et de dépasser les autres.

  • Besoins d’accomplissement personnel : l’élève a besoin de réussir, de se dépasser lui-même, de comprendre, d’expérimenter, de s’informer et de créer.

  • Besoins de relation sociale : l’élève a besoin de communiquer, de coopérer, de s’entraider, de prendre des responsabilités et d’être solidaire.

 

Selon Viau (2000), une activité d’apprentissage est motivante pour l’élève lorsqu’elle répond à ces dix critères :

  • L’activité est signifiante pour l’élève : il y trouve du sens, il trouve une utilité à l’activité correspondant à ses projets et centres d’intérêt personnels.

  • L’activité est authentique : proche du critère précédent, l’activité a un intérêt pour l’élève car elle apporte une utilité dans la vie de tous les jours.

  • L’activité est diversifiée : l’activité est variée, elle est composée de différentes tâches transposables dans d’autres activités.

  • L’activité présente un défi à atteindre : comme le nécessite le besoin de compétence, l’activité n’est ni trop facile, ni trop difficile pour l’élève. Cela permet à l’élève de se sentir valorisé lorsque l’objectif est atteint.

  • L’activité valorise l’engagement cognitif : l’élève est amené à porter une réflexion, à réfléchir à des stratégies, à faire des liens entre les différents apprentissages,…

  • L’activité permet de responsabiliser l’élève : il a l’occasion de réaliser des choix, d’être acteur de ses apprentissages.

  • L’activité favorise l’interaction et la collaboration entre pairs : l’élève se sent intégré à travers la collaboration avec les autres et cela lui permet de percevoir ses compétences.

  • L’activité favorise l’interdisciplinarité : l’élève crée des liens entre les différentes matières scolaires et l’une favorise l’apprentissage de l’autre, ce qui permet à l’élève de comprendre l’intérêt de l’activité.

  • Les consignes de l’activité sont claires : l’élève doit comprendre clairement ce qui lui est demandé.

  • Le temps de réalisation/apprentissage de l’activité est suffisant : l’élève ne se sent pas pressé de finir l’activité et peut s’y investir jusqu’au bout.


Selon le psychologue Mihaly Csikszentmihalyi (1975), l’état de Flow est l’état émotionnel proche du plaisir, l’état maximal de concentration où l’élève est complètement immergé dans une tâche (figure 3). Il est totalement engagé et satisfait de sa réalisation/réussite. On arrive à l’état de Flow lorsque la tâche permet de sortir de sa zone de confort et propose un quasi-équilibre entre le sentiment de compétence de l’élève et la difficulté de l’exercice/défi, où ce dernier est légèrement plus élevé que le savoir-faire de l’élève.

Etat de Flow selon Csikszentmihalyi (1975)

Figure 3 : L'état de Flow selon Csikszentmihalyi (1975)

Adaptation de la figure de Brunelle et Brunelle (2012).

Une des responsabilités de l’enseignant en éducation physique est de renforcer l’estime de soi de l’élève (Lamotte, 2020). Cette estime de soi est liée à la motivation mais il est important d’en dire davantage. En effet, l’élève développe son besoin de compétence. En sport collectif, l’élève peut ressentir le sentiment d’efficacité dans une tâche, par exemple, lorsqu’il fait gagner un point à son équipe. Cela renforce donc la confiance en soi, l’estime de soi et l’épanouissement dans l’activité. Pour en arriver à cette satisfaction personnelle, l’enseignant doit valoriser la réussite accessible en laissant une chance de succès à l’élève. Nous en revenons alors aux concepts cités dans le point précédent. De plus, lors des sports collectifs en éducation physique, l’estime de soi est favorisée par les encouragements des pairs et de l’enseignant, les réussites personnelles ou victoires finales en équipe,… Selon Larson (2000), le collectif permet le développement de l’estime de soi grâce à l’engagement et la volonté d’atteindre un objectif commun.

 

L’estime de soi est relativement subjective. Effectivement, c’est l’élève lui-même qui voit une image de sa personne à travers ses capacités et aptitudes. L’enseignant a pour but d’aider l’élève à reconnaitre ses forces, ses faiblesses et ses limites, ainsi que de lui donner une image positive de lui-même. Pour cela, l’enseignant va essayer de mobiliser l’auto-complaisance, c’est-à-dire faire en sorte que l’élève s’attribue la responsabilité d’une réussite (Lamotte, 2020).

 

Cet apprentissage de l’estime de soi est une valeur à transférer dans la vie de tous les jours, comme bien d’autres. Elle aide la personne à faire des choix, à s’exprimer, à évoluer et être à l’aise socialement, à oser, à se faire confiance ainsi qu’aux autres, à avancer dans la vie.

Estime de soi 
 Sports nouveaux

Dans son travail de fin d’études sur le kin-ball, Kevin de Pinho (2016) nous explique la monotonie des cours d’éducation physique. En effet, les jeunes se lassent rapidement, les élèves ont besoin de nouveauté pour rester motivés.

 

L’éducation physique, ou l’enseignement de manière générale, est en perpétuelle évolution (Dugas, 2009). C’est pourquoi l’enseignant d’EP se doit de se former continuellement, d’innover et de diversifier ses contenus. Cela ne veut pas dire qu’il doit forcément mettre de côté les sports collectifs traditionnels qui font partie du patrimoine culturel. Laffont et Bouthier (2003) disent que "un des enjeux de l’éducation physique et sportive consiste alors à faire vivre et partager aux élèves des expériences corporelles dans toutes leurs dimensions (sociales, cognitives, motrices, sensibles, affectives)". Il est donc important de varier les disciplines collectives en réalisant certains sports nouveaux qui sont parfois délaissés ou qui semblent être plus enfantins (Dugas, 2009).

 

Il existe beaucoup de sports nouveaux, certains plus connus que d’autres et certains plus anciens que d’autres : kin-ball, Poull ball, tchoukball, DBL ball, bumball, ultimate, crosse canadienne, gouret, korfball, spikeball, goubak, flag rugby, indiaka, bounceball, et bien d’autres. Lorsque nous cherchons les différentes valeurs de ces sports dans leurs règlements et/ou articles, elles sont généralement ressemblantes : fair-play, plaisir, accessibilité et coopération.

 

Dans son mémoire sur la problématique des dispensés au cours d’éducation physique, Martin Van Hoye (2013) constate que, après les excuses de blessures et oublis de tenue sportive, l’activité pratiquée au cours (discipline proposée et contenu) a une influence sur la participation ou non-participation des élèves. Le taux de présence active représente 84,2%. Il recense neuf activités qui présentent un taux de participation supérieur à la moyenne : préparation au triathlon, volley, sports nouveaux, gymnastique, badminton, activités rythmiques, football, sports de combat, course d’orientation. On remarque donc que les sports nouveaux sont en troisième position. Les activités sportives se déroulant à l’extérieur des murs de l’école présentent un taux d’absentéisme plus élevé : escalade, tennis, patinoire, musculation,… Le basket fait également partie des activités présentant un taux d’absentéisme plus élevé. Mis à part cette discipline, Van Hoye (2013) en conclut que les élèves préfèrent les activités se pratiquant dans l’enceinte de l’école pour des raisons telles que le déplacement jusqu’au lieu de pratique ou le coût de l’activité aux frais de l’élève.

Magnani et Tati (2010) classent les disciplines sportives en quatre groupes :

  • Les activités incontournables : disciplines traditionnelles, collectives, populaires (football, basket, volley, unihockey, badminton,…).

  • Les activités funs : disciplines réalisées en plein air, avec matériel/équipement particulier, augmentant l’adrénaline de l’individu (VTT, roller, snowboard, canoë,…).

  • Les activités ringardes : disciplines pour tout âge, contraignantes physiquement, respectant un règlement contraignant (tchoukball, agrès, danse,…).

  • Les activités à la mode : disciplines devenant populaires.

À l’aide de leurs expérimentations, ils en concluent que, de manière générale, les filles ont un attrait pour les activités dites "ringardes" sans contact, tandis que les garçons ont tendance à préférer les activités incontournables.

Introduction

Méthodologie

Cadrage

théorique

Développement

du hoop-picket

Interventions :

hoop-picket en 2e secondaire

Conclusion

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